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Vole !

28 juillet 2012

Présentation Night Vapor

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ULTRA LIGHT NIGHT VAPOR RTF, cacahuète volante

Fabriquant : Parkzone

Envergure : 37 cm
Poids : 16 g
Moteur : 6 mm Coreless Brushed

Hélice : 140 mm x 45 mm
Accus : 3.7 V 70 mAh Li-po
Caractère : joueur
Aime :  finir sur le nez
N'aime pas : les murs

C'est l'été et la saison des colis insolites ! Aujourd'hui, le facteur nous a déposé une petite merveille, commandée sur internet pour un prix fort convenable.

16 grammes, lourd comme deux ou trois morceaux de sucres, comme une enveloppe timbrée, comme une charmante libellule, voici le Night Vapor. Vapor parce que poids plume, et Night, parce qu'il est pourvu de leds pour briller dans la nuit.

Il s'agit d'un avion miniature, doté de grandes ambitions, et rêvant de voler au soleil couchant.

Techniquement, nous n'avons pas pu concrétiser le vol de nuit, mais on peut supposer que lorsque l'hiver viendra, on aura l'occasion de tester les leds. En attendant, allumées en permanence, elles nous mangent surtout la batterie. ^^ Mais ça fera joli, peut-être, un jour. Dans tous les cas, on s'en fiche un peu, ça n'était pas notre priorité, les loupiotes.

Ce que l'on peut dire du petit, c'est qu'il est adorable ! Il séduira tout le monde, du pilote chevronné au parfait novice, en passant par les grand-parents et les enfants. C'est un avion sociable, qui vous regarde avec ses grands yeux et ses petits câbles électriques, si fins que l'on pourrait coudre avec.

Vendu RTF, "prêt à voler" (ready to fly), on le sort de la boîte, on charge la batterie (piles dans l'émetteur livré avec avion, batterie branchée sur l'émetteur) et hop, une demi heure plus tard, on se trouve un parking désert ou un petit parc sans trop d'arbres pour lancer la bête.

Pourvu de deux roues, il décolle du sol, ou d'une table de jardin, ou d'une planche à repasser et part dans de jolies petites courbes plus ou moins aléatoires.

Les premiers essais sont généralement infructueux et on se le prend régulièrement dans la figure (sans douleur) mais au bout de quelques vols, on arrive à tourner autour d'un arbre sans angoisse.

D'ici deux semaines, je suis sure que l'on pourra se servir de la ville comme d'un terrain de jeu.

On peut VRAIMENT le piloter, contrairement aux autres avions-jouets que nous avons testé jusqu'à présent. (Twitwin était particulièrement incontrôlable) et c'est certain qu'il a du potentiel.

Bon, par contre, la rumeur "il sait voler dans votre salon" reste rumeur. Non testé, mais à moins d'avoir un grand salon, il vaut mieux se contenter de la rue ou d'un jardin, et ce même si il est solide et supporte plutôt bien les rencontres de plein fouet avec les obstacles.

Sur la boîte, le slogan c'est "Night Vapor - Just fly". Je corrigerais sympathiquement ce détail, par "Just schlouf".

Il faut préciser qu'il adore atterrir sur le nez et au moindre coup de vent, faire un galipette avant de s'étendre comme une vieille crêpe sur le sol. Il n'aime pas le vent. Mais il aime voler, ça c'est sur.

Quelques premières images :

 

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22 juillet 2012

Safari lapin

Aujourd'hui, chaleur intense dans la campagne, avec ses 21°C celsius.

Nous atteignons le point culminant de l'été, et notre entourage proche ne s'y est point trompé.

Les garennes sont de sortie, ils courent dans la luzerne et bondissent de plantes en plantes, en regardant au loin, passer les planeurs.

(Et si, c'est vrai. Les lapins peuvent regarder passer les planeurs, avec un regard intéressé. Nous étions suffisamment prêts pour voir briller leurs yeux moites.

Héhé... )

 Donc, voilà, vive les lapins, et surtout, vive l'ASW 22, qu'a une fois de plus piloté avec succès mon fieffé Kangouzu. =)

 

21 juillet 2012

Anticyclone des Açores, coucou ?

 

Anticyclone des Açores, nous te dédions poètiquement ce vol, à toi qui laisse passer les courants d'air et mouille notre été.

Bouh qu'il fait froid. Bouh qu'il fait gris. 

Mais tant de grisaille donne l'occasion de faire ressortir la grosse bête, le King Kong de la chaumière, l'amiral en chef.

L'ASW 22 et ses quinze kilos, autrement dit.

Notre fleuron était en réparation à l'atelier depuis plusieurs mois, pour son lifting annuel et est sorti lentement de son hibernation.

Il s'est mal réveillé, cependant, puisque qu'un défaut de puissance enquiquine Kangouzu depuis une petite semaine.

Après étude, il ne s'agit pas du moteur mais de nos chères batteries LiFe.

L'ASW a donc fait exceptionnelement un vol aux LiPo, avec un centre de gravité trop avant.

(Mais il a volé quand même ! victoire ! o/ )

Le tout piam piam, comme à son habitude, avec un atterrissage tout mignon dans les éteules.

 

17 juin 2012

Le pourfendeur des cieux.

Tremblez oisillons, oscillez papillons, voilà le grand beau et ses ailes-sabres, prêt à slalomer dans les airs comme un chamois sur une piste de ski. 

Le Nimbus est-il un éternel séducteur ?

Eh bien oui.

Indices en images :

 

9 juin 2012

Dumbo et le cirque Gruss

 

Il y a une chose de fantastiquement bien en ce bas monde, ce sont les spectacles d'arts vivants.

Que ça soit la danse, le théâtre, les performances sportives ou bien ce qui m'amène aujourd'hui : le cirque.

Cette semaine, un gros chapiteau rouge et blanc, surnommé "La cathédrale" s'est installée dans un des parcs municipaux.

C'était grand, c'était somptueux et ça s'appelait "Arlette Gruss". ("Le tour qui vaut le détour")

C'est là où l'on sort wikipédia et où l'on fait une rapide recherche :

"Arlette Gruss, chevalière de la Légion d'Honneur, chevalière des Arts et Lettres, Grand prix national du cirque en 1995, célèbre dompteuse de panthère ayant crée son propre cirque."

Quand on se connecte sur la page web du cirque, on se dit qu'ils se considèrent un peu tous comme le nombril du monde.

Le cirque Gruss s'est toujours prévalu d'un talent et d'un professionnalisme que l'on ne retrouve pas chez ses concurrents.

Et pour le coup, puisque Kang et moi avons testé, nous pouvons le dire :

 

LE CIRQUE GRUSS, IT'S GREAT !!!

 

Donc, nous voilà partis pour témoigner de nos impressions sur le spectacle 2012 en tant que spectateurs convaincus.

 

tournee-cirque

 

Déjà, c'est très propre. Vous n'y trouverez pas d'artistes vous menant à votre siège en faisant la gueule et en tendant toutes les deux minutes la main pour un pourboire. (Zavatta.)

Vous n'y trouverez aucun animal malade, ni aucun numéro à la con, destiné à meubler le spectacle parce que l'on manque de vrais talents.

Ce que vous y trouverez, extérieurement parlant :

 - Des toilettes, et un immense hall d'entrée : deux points buvettes, deux points restaurations et une boutique souvenir.

- Des guichets permettant entre autre d'acheter les places sur internet

- Un zoo payant (2€) mais qui vaut le détour, même si les distances de sécurité avec les enclos ne permettent pas réellement la photographie ou "l'immersion" dans l'univers du cirque.

- Des artistes internationaux qui mettent la main à la patte ( pour des animaux qui donnent la patte à la main), s'occupant de tous les postes. Autrement dit, ils ne parlent pas forcément tous bien le français, mais gèrent les buvettes, l'installation, surveillent les bestiaux...

- Un chapiteau de 1 500 places, avec un orchestre de huit musiciens pros, des lighteux dans des nacelles pour gérer les poursuites, un éclairage de doux dingue et des gradins escamotables.

A savoir, il existe plusieurs tarifs, en fonction de l'emplacement. MAIS, ils proposent également des séances hard discount, où toutes les places sont au même tarif (sauf loges), avec placement libre.

Compter 15 €uros par personne. Toutes boissons ou sucreries sont de l'ordre de 2€ ou 3€.

A savoir également, le spectacle est réellement conçu pour être tourné vers le carré d'or, dont effectivement, si on est placé ailleurs, on perd en qualité. (manque de visibilité de l'orchestre, du mur lumineux, ou de certains jeux scéniques.)

 

Maintenant, sur le spectacle :

- Il commence à l'heure. (même un peu avant l'heure, puisque les clowns traînent dans les gradins)

- Il est très rythmé, alternant les numéros de dressage, les numéros d'équilibre et les clowns.

- La présentation est très très bien ! (Bravo Monsieur Loyal), avec des chansons, du slam, de la poésie et de l'humour.

- Il dure environ deux heures et demi, entracte compris de 20 minutes.

- Photos autorisées, sans flash, et pas de film.

- Haie d'honneur des artistes lorsque l'on entre sous le chapiteau.

 

Pour parler des numéros, rien de mieux qu'une bande annonce :

 

 

Sur les prestations, à proprement dit (et pardon si j'en oublie) : 

 

Le spectacle se décompose en deux parties. La première étant bien, la deuxième étant extraordinaire.

Rien que la deuxième partie justifie entièrement le déplacement, tant les numéros sont épatants.

 

PREMIERE PARTIE :

 

Dans la première partie, nous y trouvons tout d'abord les tigres. Quatre beaux du Bengale, dont deux dotés d'un pelage bizarre. Lorsqu'on les voit à Monsieur les dresseurs, on croirait vraiment des peluches.

Ils sont sages et on sent que le dressage repose bien davantage sur la confiance et "l'amitié" (si on peut parler d'amitié avec des tigres...) que sur ce que l'on peut voir dans d'autres cirques : la crainte et la domination.

Là, les animaux jouent. Bon ok, ils baillent parfois, mais s'ils ne s'amusaient pas, on ne verrait pas un tigre traverser la scène en faisant des bons de marsupilami. Et on ne verrait pas non plus le dompteur tripoter la queue de l'animal pendant que ce dernier se fait balader dans un ascenseur.

Le temps de démonter la grille de sécurité (système très ingénieux, au passage), les artistes viennent exécuter une petite chorégraphie féline, habillés dans une tenue tigrée avec deux lampes frontales sur les yeux.

C'est une des caractéristique du cirque Gruss : énormément de costumes (40 différents ? ou 60 ?), et régulièrement des petites danses meublant les transitions. Les idées étant souvent farfelues et drôles.

S'ensuit un numéro d'équilibre : un type tchèque, qui a essayé de nous vendre des croque-monsieurs alors qu'ils étaient en rupture de stock une demi heure plus tôt, monte et descend à toute vitesse une échelle tenant à la verticale grâce aux impulsions qu'il lui donne. Il fait des demi-tours, il change de temps en temps d'échelle, et pour le final, une fois tout en haut, il jongle avec cinq massues.

Impressionant.

Ensuite, apparaît dans le public Madame Gruss (pas Arlette, sa fille), et son chien.

"Mon chien aussi est oune artiste". Entrée en matière pour un numéro de dressage mêlant plusieurs races de cabots.

Avec surprise, nous pouvons constater que le toutou qui machouillait la veille dans le zoo avec un regard éteint une planche en bois, aujourd'hui, fait des galipettes, bondit dans tous les sens et fait de la corde à sauter.

Certains tours sont du déjà vu dans d'autres cirques, cependant, d'autres sont assez surprenants.

Dans le désordre, nous enchaînons après par un trapéziste, sanglé mais très doué, qui fera quelques saltos. Une contorsionniste un petit peu déstructurée qui nous fait le grand écart.

On note aussi les deux clowns qui jouent avec leurs chapeaux. Honnêtement, je ne les ai pas trouvé très drôle, mais bon, les clowns sont un passage obligé.

Il y a eu malheureusement un numéro équestre que je considère "raté". Le principe était que Maman Gruss apprenne à sa fille le numéro de dressage de chevaux. Seulement, si les chevaux obéissaient bien à la première, la plus jeune galérait visiblement à se faire obéir. Résultat, dès que les chevaux faisait un tour de piste, elle saluait le public pour se faire applaudir.

J'en tire deux appréciations :

Soit Mademoiselle a loupé son numéro, ce qui peut arriver, le dressage d'animaux étant une science quand même très aléatoire, dépendant de la bonne volonté des bestiaux.

Soit le numéro de dressage équin est beaucoup plus difficile que ce que l'on peut imaginer lorsqu'on le voit parfaitement réalisé dans d'autres cirques.

Pour terminer la première partie, un numéro de magie, réalisé par le fils (ou petit fils, je ne sais plus) Gruss.

Le numéro consiste en deux ou trois tours, et appartient à la famille des "évasions extraordinaires" et autres prouesses réalisées avec des engins truqués.

Le premier numéro est carrément bluffant : la femme découpée en deux, avec d'un côté le haut du corps, et un mètre plus loin, la paire de jambes.

Ok, on sait qu'il y a un truc, mais honnêtement, s'il s'agit de deux contorsionnistes, c'est très impressionnants puisqu'il n'y avait qu'une toute toute petite boîte où se contorsionner.

L'effet visuel donne des frissons, en tout cas.

Le second numéro est celui d'une évasion, qui n'a pas du être parfaitement réalisée puisque Kang a vu le magicien se barrer en courant vers les vestiaires. (XD...  )

Puis, entracte. 

 

SECONDE PARTIE :

 

Retour sur le siège et montée d'émotion lorsque des danseuses à tenue orientale viennent se dandiner sur la piste.

Honnêtement, sur le coup, je n'ai pas compris qu'il s'agissait d'une imitation Bollywood, cela aurait pu être un thème africain, ça aurait été pareil.

D'ailleurs, je m'attendais à voir arriver les zèbres que l'on avait croisé au zoo.

Mais non, du tout.

En fait, il s'agissait de quelque chose de plus gros, de plus lourd et de bien plus attachant.

 

ELEPHANTS !!!

Hiiiii !

 

Crévindiou, j'aime les éléphants. Dans la liste de chose à faire dans ma vie, il faut qu'un jour, je monte sur le dos d'un éléphant.

Quatre éléphants d'Asie, parés sobrement entrent en piste. Rapidement, les shivas montent sur leurs têtes.

(Oui, on s'assoie sur le cou. Pas de selle, juste un tapis. Pour grimper, il faut tirer sur une oreille. L'éléphant étant réceptif, lorsqu'il sent qu'on s'aggrippe, il lève une patte avant pour que l'on s'en serve en ascenseur. Cependant, il faut quand même avoir de la poigne pour se hisser jusqu'au sommet.)

(Par ailleurs et pour achever la transition, les éléphants sont ADORABLES. On les a vu au zoo du cirque et chose absolument stupéfiante, ils étaient en totale liberté. Avec juste un bout de ficelle pour leur indiquer la limite à ne pas dépasser.

Je n'avais jamais vu un éléphant d'aussi prêt. Et même si les asiatiques sont sensés être plus petits que les africains, lorsque l'on se trouve en face d'eux, pas d'autre choix que de lever les yeux. C'est immense comme bestiole. Et ils étaient tellement prêts... S'ils tendaient leurs trompes, ils pouvaient largement nous tapoter l'épaule.

A préciser pour rassurer ceux qui n'oublient pas que ce sont des animaux pouvant être dangereux, les défenses étaient entièrement coupées. Fin de la transition.) 

Les éléphants gravitent donc sur la piste, se tenant la queue histoire de ne pas se perdre.

Ils doivent être sacrément habitués à l'homme, parce qu'énormément de gens tournaient entre eux, pour poser les tabourets nécessaires au spectacle.

Nous avons vu l'éléphant pattes avants sur le tabouret, (et levant les deux pattes arrières, ne touchant plus le sol.)

Nous avons vu l'éléphant pattes arrières sur le tabouret et pattes avants posées sur les fesses de l'éléphant voisin.

Nous avons vu, summum du dressage, l'éléphant posant une seule patte sur le tabouret et tournant autour à cloche-pied.

Le tout sur une jolie musique d'ambiance.

Hiii !

Retour des clowns qui cette fois embarquent un brave chauve du public.

Je crois qu'on peut préciser que les gags tournaient principalement autour de la capillarité, et secondairement des instruments de musique.

Mais je répète, je ne suis pas fan des clowns. Leur second passage était tout de même mieux que le premier.

On enchaîne sur un cheval comique. La fameuse histoire du cheval qui ne voulait pas travailler et qui préfère dormir.

C'est un grand classique des numéros de cirque, cependant, celui-ci était remarquablement bien exécuté.

S'ensuit un nouveau numéro d'équilibre. Une jeune fille qui attrape un poteau, genre celui que l'on trouve dans le métro, mais pouvant pivoter sur lui-même.

Elle grimpe, elle tourne, elle se tord dans tous les sens.

Puis, nouvelle merveille absolument extraordinaire : un numéro de gymnastique, réalisé par deux hommes, sur des sangles aériennes. Le duo Varnas, qu'ils se nomment.

Ceux-là n'ont pas de sangle de sécurité. Ils se hissent à plusieur mètres de haut à la force des bras, et sont d'une souplesse à faire palir un médecin.

Leur force est également démentielle, puisqu'ils arrivent à tenir avec quasiment rien. Le must ? Le moment où un des deux monsieurs fait la chandelle sur le dos de son partenaire. Il tient comme ça, sur le haut du dos. Et il ne se tient à rien d'autre. A plusieurs mètres de hauteur.

Whaouh.

Le numéro suivant ne devait pas être le final, mais suite un accident à la répétition du matin, entrainant l'hospitalisation d'un des artistes, il a fait office de clou du spectacle.

En fait, il le méritait réellement, et était de toute manière clou du spectacle 2011.

Il s'agit de... je ne sais pas trop comment ils nomment ça. Le globe of the death, la boule de la mort.

Non, le Globe of speed, d'après leur site web.

Le truc affreux. Le numéro "ils vont tous mourir". Les tigres à côté, ce sont des chatons.

Tout d'abord, une sphère arrive sur des rails au centre de la piste, avec à l'intérieur, trois motos.

Rapidement, les motos s'élancent et enchaînent des passages à 360° pouvant aller de l'équateur au looping, toutes en même temps et en se croisant à la manière de balles de jonglage.

On pourrait croire qu'ils vont se tuer, mais en fait, deux autres motos viennent les rejoindre.

Même chose à cinq.

Et là, terrible angoisse, trois autres motos arrivent. A huit, dans le noir complet, ils vont continuer à faire leurs passages de folie.

C'est le genre de numéro impitoyable à voir une fois "en vrai" tellement la performance est incroyable, tant sur le plan visuel que sur le plan technique.

On pourra dire qu'ils auront été copieusement applaudits.

Le spectacle se termine en beauté là-dessus, avec un dernier tour de piste de l'ensemble des artistes, et une petite précision, à toutes fins utiles :

" Nous revenons l'année prochaine, à bientôt. "

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26 mai 2012

Sélection de vidéos - vol de nuit, planeur à pattes...

Trouvées sur les GPR, elles nous ont séduites :

 

En attendant les feux d'artifices du 14 juillet, on peut déjà apprécier la performance.

 

 

" Le chariot de décollage, c'est pour les petits joueurs " :

 

 

Voyage, voyage... Caméra embarquée :

 

30 avril 2012

Reprise en main de la bête

 

Kangouzu a réparé son Nimbus !

Vous savez ? Le grand blanc et bleu, aux ailes façon chiquots de tigre, un chouia agressif sous ses airs séducteurs mais qui demande à être piloté par un vrai moustachu qui a du poil, et du bon.

Donc, nous sommes partis tous ensemble bras dessus bras dessous, poussés dans le dos par un petit vent du sud.

Arrivés à notre piste, préparation effectuée, la bête démarre et pouf, le chariot perd une cale, ce qui bourrine le tout et fait partir notre ami planeur de traviole.

Mais tout va bien.

Ca a bien décollé, ça a bouclé et ça a renversé dans tous les coins, dans une allégresse générale sur un fond de ciel de pluie.

On a eu une petite frayeur sur un piqué foireux, dû à un mauvais réglage de l'appareil, mais le Nimbus, tout perturbé qu'il était, est remonté dans la direction opposée aux colzas.

L'atterrissage a été olympique, la faute à l'absence de vent, mais "posé pas cassé" est un bon atterrissage.

Une bonne reprise en main de la bête, en résumé.

Graouh !

 

8 avril 2012

Les déboires caustiques de Pinpin.

 

Je tenais à vous informer d'un fait divers de saison.

Nous avons retrouvé Pinpin, notre lapin volant, vêtu chastement d'un noeud papillon bleu et de feuilles d'or, gambadant à des hauteurs vertigineuses sur la gouttière, les branches du lilas ou de l'arbre à papillon.

Il a sauté jusqu'aux pissenlits (que nous avons en folie), se fondant de touffe d'herbe en touffe d'herbe, avant de se glisser jusqu'au sommet de notre forsythia pour picorer ses bourgeons dorés.

Poussé par le goût de la liberté et de l'indépendance, il avait voulu prendre son envol, rencontrer une lapinette et faire beaucoup d'oeufs en chocolat.

Et bien, il n'en sera pas ainsi. Sa fin fut tragique, il a terminé démembré et digéré.

Une pensée pour Pinpin, on t'aimait bien, dommage qu'il n'en reste plus. =)

Et joyeuse Pâques à tous.

 

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17 mars 2012

Be Green - Les volatiles vus de près

 

On a testé pour vous le salon de la nature et des tendances écologiques et sa jolie petite ferme pédagogique.

Qui dit ferme dit volaille et qui dit volaille dit dindon.

Vous aviez déjà vu un dindon de face, à moins de trente centimètres ?

Pour moi, c'est fait.

Et voilà le résultat en diaporama, avec nos amis les animaux :

 

2 mars 2012

Le Moswey 3 de Rémy

COUP DE COEUR

Pour un planeur d'exception

par Rémy,

Il s’appelle Moswey 3, planeur Suisse des années 50 prévu pour des vols de distance.

Il fut réalisé en plusieurs exemplaires avec de nombreuses évolutions.

 

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Je vais vous parler du kit réalisé par Frank Albrecht, c’est un passionné de construction en bois et il maitrise à merveille cette discipline à l’aide de découpe de pièces en commande numérique. J’ai eu la chance de le rencontrer lors du Rétroplane 2011.

Le kit dont j’ai fais l’acquisition a été monté en partie et avec beaucoup de soins par un autre modéliste à qui il manquait du temps pour concrétiser la réalisation .

Il s’est arrêté à l’assemblage de la structure du fuselage et des empennages.

J’ai repris la construction en réalisant les panneaux d’aile entièrement assemblés par des petites pièces en contreplaqué prédécoupées sur de nombreuses planches.

J’ai été surpris par la précision et l’ingéniosité des montages.

C’est un vrai plaisir de construire cette structure exceptionnelle et il m’est toujours difficile de m’arrêter. Il y aura encore bien du temps à y passer avant le premier vol, mais, pas de précipitation car je souhaite réaliser une construction sans défauts.

 

Voici les premières photos. (cliquez pour agrandir)

 

Mo 2

Mo 3

Mo 4

Mo 5

 

Et voici le fuselage sur lequel, il reste à faire le coffrage, l'assemblage des ailes et empennages, installation radio...

 

Mo 6

 

Je ne manquerai pas de continuer à vous faire profiter de la suite de la construction en images mais il faudra être patient car la construction demande beaucoup de temps.

Vous pouvez aussi retrouver des information sur le Blog Rétroplane

 Rémy.

 

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