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Vole !
radiocommande
1 juin 2013

Lancer de planeur

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YAHAAAAA ! SOLEIL !

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15 mai 2013

Paparazzi

La star aujourd'hui, ça n'est pas l'Alpina, c'est Titi.

C'est lors d'un méga joyeux vol estival que l'on a rencontré ce guilleret plumé qui nous a suivi et accompagné durant la séance.

Il était tout mignon, jaune comme du colza, jaune comme le soleil.

Ca réchauffe le coeur, un pioupiou comme ça.

L'Alpina a était quant à lui à la hauteur, se donnant en spectacle face à notre nouveau copain, boucles inverses, boucles reverses, boucles dans tous les sens au milieu des cottoneux du ciel. 

Great day ! 

 

9 mai 2013

Tchac tchac poum poum

 

Retour en fanfare du Grand Beau, le Nimbus fougueux, fieffé et filou.

Il va bien, Sportman, son pilote est en pleine forme et s'est délié les pouces dans de chouettes renversements, profitant du manque de thermiques pour s'adonner à la voltige. 

C'est assez récent que le kang ose voltiger avec ce planeur, puisqu'il n'est pas vraiment fait pour cela et qu'il a tendance à être vicieux au pilotage.

Ceci dit, maintenant que l'on sait qu'on peut passer les tonneaux les doigts au fourreau, tout va bien.

Allons-y gaiement, sur un fond sonore intitulé "Shounen" et interprété par Heidi.

 

3 mai 2013

Black'n light

Rétrospective du 7 et 8 avril 2012 avec notre ami l'Alpina.

Ce lointain samedi, le grand oiseau bleu se pavanait dans un ciel pour le moins unicolore et sans parfum, ce qui nous donnent des photos pour le moins grises et tristounes.

Cependant, de mes yeux vus, la bête était là et en bon poil, puisqu'elle virevoltait comme un pinson dans l'air.

Le lendemain, dimanche 8 avril, le temps était déjà plus hallucinogène. Tout noir d'un côté, tout illuminé de l'autre.

Ça fleurait bon les premiers arômes de printemps, pour peu que l'on oublie la brume et les nuages.

Ci-joint :

10 avril 2013

Alignement des buses

Aujourd'hui, le ciel est un chouia terne, sans goût ni saveur.

Heureusement, il y a notre petite pointe de safran à nous, notre buse coquine et joueuse, venue au rendez-vous.

On plane communément, on se partage notre carré de gris et on tourne l'un autour de l'autre, en mode parade nuptiale légerement hors saison.

La buse est farouche, et nous, évidemment, nous sommes séduits par cette rencontre gourmande et croquante.

L'Alpina schtroumpf se retourne dans tous les sens, on montre le ventre, on montre le dos, on virevolte joyeusement.

Un bon vol bien tranquillou.

 

 

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1 mars 2013

Présentation Alpina

 

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Alpina 4001, esquimau tout terrain

Fabriquant : Graupner Tangent
Importateur : Weymuller
Envergure : 4 metres
Poids : 4300 g
Moteur : Hacker A40-10L V2 14 poles
Controleur : Jeti 65 Ampères
Hélice : 16x10 repliable
Accus : Lipo 5S 3900 mah
Caractère : Casse-cou
Aime :  les temps pluvieux/venteux/abominabuleux
N'aime pas : rester au sol

On ne vous l'avait pas encore montré. Voici Alpina schtroumpfy, le petit bleu qui n'a pas froid aux yeux.

Pratique, on le glisse dans le coffre et il nous accompagne un peu partout. Pas besoin de chariot, le lancer se fait à la main, et plus le temps est rude, plus il aime ça.

Ca sera votre compagnon d'automne, ou d'hiver. Ou d'été si vous volez en bord de falaise, ou de montagne, pour peu qu'il y ait un trou en dessous.

En vol de plaine, c'est plus calme, mais comme c'est un petit coquin, il vous incite à jouer des manches pour l'emmener dans des tonneaux de fou.

Ca ne lui fait pas peur, non non non. Au contraire, les passages bas, les pointes de vitesse, les retournements, les renversements, les décrochages contrôlés (mais si, c'est une figure), ça le stimule joyeusement.

En gros, l'Alpina est au mauvais temps ce que le Thermik XXL est au grand soleil.

Il suffit de regarder la météo pour savoir lequel choisir, les deux étant de grands perfomeurs.

Néanmoins, faut pas croire qu'il part à tout va. L'Alpina se contrôle bien et est capable de faire des atterrissages de précision, sur de toutes petites surfaces pour peu que l'on sait viser.

Il vaut le coup, pas pour les débutants, mais au moins pour les intermédiaires et ceux qui souhaitent démarrer progressivement les grands plumes. L'essayer, c'est l'adopter !

 

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 Commentaires techniques de Kangouzu : 

La Référence absolue ! Doit-on encore présenter ce planeur qui fait le bonheur des pilotes depuis plus de 30 ans ? Il est évident qu'il faut posséder ce modèle dans sa flotte pour plusieurs raisons :

Polyvalence extrême : un Alpina sait tout faire, du vol thermique en plaine par petit temps au vol de pente par gros temps, en passant par la voltige, c'est un planeur que l'on sort partout et souvent.

En version électrique, il reste d'un poids raisonnable pour pouvoir être encore lancer par le pilote lui-même. Ma motorisation permet des décollages en sécurité et des montées assez musclées avec un peu de vent. J'ai choisi la version légère (thermik) avec clé carbone et sans AF et cela me convient parfaitement.

Le planeur est plutot solide et son allongement mesuré associé à une bonne répartition des masses, le rend particulièrement maniable et précis à la profondeur grâce à un excellent stabilisateur monobloc. Le taux de roulis est surprenant et précieux pour la voltige ou se tirer d'un mauvais pas en cas de bourrasques de vent.

 

20 janvier 2013

La guêpe : jour 4 et fin des premiers vols découverte

 

Aujourd'hui, on multiplie le challenge : exploration d'un nouveau terrain de vol chez les Faucheurs de Marguerite.

Ils possèdent une pelouse intéressante, avec néanmoins quelques trous de sanglier, mais qui ne devraient pas poser de difficulté.

Le vol s'est bien passé, hormis une brève perte radio inexpliquée, et peut-être liée aux orages naissants.

Le Kang bouleverse des thuyas et ça roxxe du paté. (Comme on dit chez nous, là-bas dans le canton profond.)

Quelques images :

 

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17 janvier 2013

La guêpe : jour 3

Le Kangouzu est un dresseur de nuage, un dompteur d'insectes, un dardant pilote. 

Maître de la guêpe, il joue désormais à cache-cache dans le ciel, offrant à mon appareil photo une super séance de shooting. 

Ca y est, là on peut le dire et le crier sur tous les toits, la Guêpe est baptisée.

Inaugurée dans tous les sens du poil, pour autant qu'elle ait des poils.

Elle vole sur le saumon, fait des virages à couper au couteau et enchaine les boucles comme un hamster coincé dans une roue.

Et c'est méga classe. (Dis-je avec un parti pris évident. Mais un fond d'objectivité quand même.)

Pour preuve :

 

9 janvier 2013

La guêpe : jour 2

Temps de pluie.

On vole quand même, mais il ne fait pas assez beau pour s'attarder longtemps dehors.

Quelques clichés du décollage...

 

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3 janvier 2013

La guêpe : first fly

Autant dire que l'émotion est là. Palpable. Lumineuse. Effervescente.

Et que si les mains du pilote ne tremblotent pas de joie, c'est dû uniquement à un self control émérite.

Voilà, notre nouvelle bestiole vient de voir le jour. Plusieurs mois auront été nécessaires au montage.

Au départ, nous ne pensions la recevoir qu'à Noël, puisque les délais de commande sont assez long et que notre canne à pêche à rayure provient d'Allemagne.

Cependant, coup de bol, le magasin l'avait en stock et nous l'avons assez rapidement reçu. Il a fallu ensuite réunir les pièces, et bâtir le tout.

Et c'est ainsi que la Guêpe fredonna dans les airs pour la première fois, en ce beau 31 juillet 2011.

Comme le veut la tradition, le premier "vrai" first fly s'est fait dans l'intimité, au lever du soleil, et sans appareil d'enregistrement d'aucune sorte.

Nous sommes retournés le même soir afin de prendre les premières photographies.

On vous parlera plus en détail de ses caractéristiques techniques, dans un petit article de présentation. Pour l'instant, voici simplement les premières impressions de notre vol en odorama, entre l'herbe tondue de près et les tas de fumier fraichement ventilés. 

Le décollage est niquel. C'est probablement le planeur qui s'adapte le mieux au chariot. (lui-même adapté pour l'occasion.)

Il part assez court. Aujourd'hui, il n'y avait pas de vent, mais il part assez court en toutes circonstances, il paraît.

Dans les thermiques, il monte facilement. Mais les aérofreins (électriques, s'il vous plait) le font tomber comme une flèche au besoin.

Les premières spirales se sont bien passées, même si une petite faiblesse sur une aile.

Le vol s'arrêtera prématurèment, car un des caches aéfs est en train de s'envoler, la colle de fixation étant un peu légère.

L'atterrissage peut se faire de précision sans difficulté. A savoir qu'il allonge à la demande, mais raccourcir, c'est un peu plus délicat.

On constatera une fois posé qu'un des servos était en panne, ce qui peut expliquer la faiblesse précitée.

Retour à l'atelier pour réglages et on retourne voler prochainement.

Youpi !!!

 

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