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Vole !
modele reduit
1 août 2010

Le temps des oiseaux

Les blés sont moissonnés, les éteules coupées rases, et les orvets sortent montrer leurs truffes.

Si bien que les piafs sont de la partie, et malgré le temps gris, nous volons tous ensemble dans un même élan d'amour.

Youpi graah.


Le temps des oiseaux  

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14 juillet 2010

Le temps des moissons

Sous un ciel encore gris-mouillé, après une journée un brin orageuse, synonyme des premières pluies estivales, nous voilà.

Ca fait un moment qu'on galérait à trouver des terrains où atterrir, et on attendait avec impatience que les blés soient fauchés.

On commence enfin à retrouver des parcelles sans culture, et c'est quand même vachement mieux pour nous, et beaucoup moins dangereux que d'atterrir dans des zones réduites.

Le vol du soir a été écourté, à cause d'un oubli de rechargement du récepteur radio, mais on a eu le temps de cliqueter quand même.

Admirez les jolis contrastes célestes et les nuages-choux-fleurs.



Le temps des moissons

26 juin 2010

Haute pression

Volons.

Parce qu'il fait beau. Trop beau. SUPER MEGA BEAU !!!

Et qu'on cuit comme des cochons de lait sur le tournebroche de l'univers, et qu'en plus, on aime bien ça.

Donc, au pied du lit, dès l'aurore, nous nous sommes aventurés dans la campagne trouver une zone où les cultures n'étaient pas encore fleuries.

Le terrain choisi était un chouia près des habitations et près des nids d'hirondelles, mais c'était le seul possible, puisque avant de décoller, il faut déjà savoir où l'on va atterrir.

Moi, j'ai galéré au possible, et j'ai viandé méchamment le Spirale à plusieurs reprises.(Et c'est là que je dis, vive la double commande, Kang a pu sauver le ptiot de la casse juste à temps.)

Kang a assuré avec sa grosse bête, malgré un atterrissage délicat. (herbe rase, on a fait un dérapage de doux dingue dans la poussière, puisqu'il n'y avait rien pour freiner le planeur)

Et qu'on a bronzé, parce qu'on le valait bien.

Quelques images :

30 mai 2010

Le Mont Chauve

L'autre jour, alors qu'il faisait beau et que ça tapait dur sur nos fronts musclés, nous sommes allés parcourir notre brave et belle campagne à vélo.

Sur ces petits chemins, sentant davantage le colza et les pousses de betteraves que la noisette, nous nous sommes égarés jusqu'à débouler sur une protubérance.

Ciel ! Ceci devait être la dernière rescapée d'une espèce perdue : les collines.

Du haut de notre pic, nous nous sommes surpris à observer l'horizon. Et si ?

Et voilà.

Tout ça pour dire que, postés sur notre Mont Chauve, nous testons pour la première fois le vol de pente.

C'est à fortiori très impressionnant.

Notre cobaye, le Spirale, a découvert le bonheur du vol stationnaire. Le vent était même si fort que nous avons du atterrir en marche arrière pour éviter de se carpetter dans les bois d'en dessous.

A récidiver par jour de beau temps. En attendant, quelques images :

28 décembre 2009

Présentation - ASW22

P1060740

ASW22, Amiral de la flotte

Fabriquant : Michel Clavier Modélisme (MCM), ASW22
Envergure : 7m50
Poids : 15 000 g
Moteur : Hacker C50-13XL + réducteur 6,7:1
Hélice : repliable 23X12 carbone
Accus : 30 X GP nimh 2200 mah
Caractère : tout doux
Aime :  prendre son temps
N'aime pas : perdre son hélice

En mode super gros poids lourds, voici le 22. Il est énorme, il est beau et qu'est-ce qu'il est bien ! Il vole aussi lentement que précisément, il aime tourner sur son aile, et il aime se dorer le dos dans les soleils couchants. Les prises de vitesse suivies d'une boucle, d'un renversement ou d'un virage à 180 degré sont magnifiques.

Mais c'est en vol à voile pur que ce poids lourd des airs est une vrai merveille; il suffit de monter à 200m d'altitude avec le puissant moteur et ensuite de se laisser planer, planer, planer... Un planeur qui n'en finit jamais de descendre, qui tient l'air même en l'absence de vent et d'ascendance et qui parcourt la plaine sans chuter de long en large avec une finesse extraordinaire. Si vous trouvez un ascendance (assez facile avec ce type d'appareil), alors là, c'est l'ascenseur et en quelques spirales, vous prenez facilement 100 mètres.

Les atterrissages demandent beaucoup de préparation et de soins mais sont d'une grande beauté, le planeur se posant majestueusement à vitesse très réduite.
Il parait qu'il est facile à piloter, cependant il pardonne peu les décrochages. On l'aime bien mais il a un gros défaut : un bon quart d'heure de préparation avant chaque vol le temps de le monter. Kangouzu avait essayé de lui coller des winglets mais ça ne fut pas une grande réussite. Il n'aime pas les artifices, le gros père. Bref, un très très grand planeur de grande valeur, un jouet somptueux (peut-on encore en parler ainsi ?) pour modéliste passionné de belle machine volante mais qui en donne beaucoup à son pilote et aux spectateurs.

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